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Latest News:
Georges Bataille – Je mets mon vit contre ta joue 27 Oct 2007 | 02:11 pm
Je mets mon vit contre ta joue le bout frôle ton oreille lèche mes bourses lentement ta langue est douce comme l’eau ta langue est crue comme une bouchère elle est rouge comme un gigot sa pointe...
Apollinaire – La boulangère 27 Oct 2007 | 01:52 pm
Boulangère jadis qui respiriez l’amour Peloteuse de couilles Vous souvient-il des années et des jours Remplis par ma gidouille Mon jeune braquemart allait aux galions Que recelaient vos fesses C...
Apollinaire – Mon beau membre asinin 27 Oct 2007 | 01:45 pm
Tes mains introduiront mon beau membre asinin Dans le sacré bordel ouvert entre tes cuisses Et je veux l’avouer en dépit d’Avinain Que me fait ton amour pourvu que tu jouisses Ma bouche à tes sein...
Apollinaire – Ma queue éclatait sous tes lèvres 22 Oct 2007 | 10:08 am
Ma queue éclatait sous tes lèvres Comme une prune de Juillet La plume au vent qu’on taille en rêve N’est pas plus folle je le sais Que la volage aux amours brèves Il me souvient de Félicie Que j...
Apollinaire – Les canons membres génitaux 22 Oct 2007 | 09:14 am
Les canons membres génitaux, Engrossent l’amoureuse terre. Le temps est aux instincts brutaux. Pareille à l’amour est la guerre. Guillaume Apollinaire (1880-1918)
Apollinaire – Il y a le cri des Sabines 22 Oct 2007 | 09:09 am
Il y a le cri des Sabines au moment de l’enlèvement Le chant nuptial de la Sulamite Je suis belle mais noire Et le hurlement de Jason Quand il trouva la toison Et le mortel chant du cygne quand s...
Apollinaire – Con large comme un estuaire 22 Oct 2007 | 08:55 am
Con large comme un estuaire Où meurt mon amoureux reflux Tu as la saveur poissonnière l’odeur de la bite et du cul La fraîche odeur trouduculière Femme ô vagin inépuisable Dont le souvenir fait ...
Pierre Louys – Elle tourne, elle est nue, elle est grave 29 Sep 2007 | 08:49 am
Elle tourne, elle est nue, elle est grave; ses flancs Ondulent d’ombre bleue et de sueur farouche. Dans les cheveux mouillés s’ouvre rouge la bouche Et le regard se meurt entre les cils tremblants....
Théophile Gautier – La danseuse 29 Sep 2007 | 08:45 am
Des rires frénétiques, des cris de volupté, des râles extatiques, de longs soupirs mourants, des sanglots et des pleurs : idolo del mio cuor, anima mia, mon ange, ma vie, et tous les mots de ce lan...
Georges Sand – Lettre 29 Sep 2007 | 07:38 am
… Je me suis souvent assise seule à l’écart avec une âme pleine d’amour et les genoux tremblants de volupté… Je fais encore dix lieues à pied, et en me jetant le soir dans un lit d’auberge, je songe e...
